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 we've got some explaining to do [w/poppy]

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Adrian Barsentti

Adrian Barsentti


Messages : 454
Avatar, © : jamie dornan (©anaïs)
Multinicks : kali, vera.
Pseudo : catwalks, clau.
Age : thirty-one years-old, big'ol'guy.
Job : hates his job, works at his best mate bar.
Status : single af, try to win his ex back.
Top wishes : kill him and then drink to forget with him, bring her to london, do something for valentine's day.

MARK MY WORDS;
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MessageSujet: we've got some explaining to do [w/poppy]   we've got some explaining to do [w/poppy] EmptyMar 24 Jan - 0:58

throw roses into the abyss and say: 'here is my thanks to the monster who didn’t succeed in swallowing me alive'

Rêves, fragmants de l'inconsience humain, dévoilant ses désirs inasouvis, les plus enfouies, transmis pour le cerveau dans tous le système nerveux, le sang, les organes. Un espoir qui renaît de ses cendres, une envie bien réelle, impossible. Parfois, qui prennent un ton sérieux, trop profond, qui voient trop loin, trop peu, ou justement, trop. Beaucoup trop. La sensation de déroutement lors du réveil, provoqué par une confusion, une envie de retourner dans ce monde, ou au contraire, de ne pas y remettre les pieds de si tôt. Un réveil brusque, où la conscience reprend le contrôle, perdu, s'avouant parfois vaincue. Dans tous les cas, les visions, les flashback, de ses rêves, restent ancré, comme une facette ou un objet porte-bonheur, toujours prêt du corps, physiquement. Le Barsentti ouvre les yeux, se laisse bercer par les sentiments émmergeant de son réveil, de ses rêves qui le dérangent. Tous le rapporte à des actions passés, à une vision de l'horreur qu'il préfère oublié. Passant depuis belle lurette, le cap du rêve non-plaisant, devenant son jumeau, le cauchemar. Scénario apocalyptique, mort prochaine, répétition d'un évnements malheureux, ou projection dans l'avenir sous l'influence de mauvais souvenirs, d'anxiété. L'italien passe ses mains sur son visage et souffle; l'air frais lui couperait le souffle, lui pincerait la peau, c'est ce dont il avait besoin, ce qui le rendrait plus fort, lui ferait oublié tout ses moindres soucis. Il s'éveille, se lève, sa revision retrouvant peu à peu sa pleine performance. Le mirroir n'est pas d'une grande aide, ne le fait pas se sentir mieux, n'apège pas ses maux intérieurs. Des remords le travaille, lui donne mal au coeur, à l'estomac, l'empêche de bien dormir, de pensé correctement. Et il pousse un juron, un long râle, abandonnant, se laissant guidé par la cupabilité. Celle-ci, qui conspire secrètement contre lui, qui forcément, hors de tout doute, lui en veut, pour une action qu'il a fait, qu'il ignore, ne se souvient pas. Parce que Adrian, est présentement devant la porte de Poppy Bloom, le poing élevé, prêt à frapper contre la porte. Mouvement qu'il produit trois fois, trois lourds, solides coups, qui ne laissent aucun doute sur sa force. L'entraînement avait eu du bon sur son corps, finalement. La porte s'ouvre, son souffle, déjà dans sa traché, l'empêche de bouger, de respirer. Il ne se souvient pas comment les mots ont réussis à sortir de sa bouche, à être audible. Hum, hi. I wanted to come talk to you. If you have a minute. Bien évidemment, elle pourrait refuser, et leur conversation se finirait là-dessus. Mais Adrian se rappelait qu'il ne devait. Pour lui, mais aussi pour Reese. Look, I know what you think of me, which is very low, but I do love Reese, and I want to prove it to you. So if you just give me a few minutes, just a few, maybe you won't hate me that much. Il ne s'attendait pas à ce qu'elle lui offre le café, un repas, ou même lui ouvre la porte de sa maison. Il serait d'accord pour rester là, dans le cadre, à parler, s'expliquer, la raisonner, la supplié, s'excuser, tout, pour qu'elle comprenne qu'il ne voulait pas de mal à sa meilleure amie. Please. Just like a well behaved boy. Se dit-il en se mordant la lèvre, reproduisant les yeux du chat botté pour la supplié subtilement.
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Poppy Bloom
— sunshine mixed with a hurricane.
Poppy Bloom


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Avatar, © : alicia vikander, hathaways, p.d.
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Age : twenty-seven y.o.
Job : linguistics PhD, specializing in scottish gaelic folklore.
Status : single & elusive. 'you pressed your lips against mine and drowned me with promises you didn't keep.'
Top wishes : cross everything off the list, figure things out, stop grieving.

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MessageSujet: Re: we've got some explaining to do [w/poppy]   we've got some explaining to do [w/poppy] EmptyLun 30 Jan - 18:45

i am sorry for your
angry fists,
but just keep them in your pockets,
just keep the hurricane in your pockets this time.
On frappe peu à la porte, chez les Bloom. L'épaisse résidence est trop spacieuse pour que le bruit pénètre tout l'espace et si personne ne se trouve dans le salon, invariablement, l'interpellation tombe à l'eau. Dans la poignée de visiteurs potentiels, il y a ceux qui ont la clé, ceux qui savent que la porte d'entrée est rarement verrouillée, ceux qui reviendront et ceux qui peuvent bien attendre sur le perron que l'habitant s'aperçoive de leur existence. Sans aucun doute, Adrian Barsentti se situe dans la dernière catégorie. La probabilité qu'il vienne orner son paillasson un jour était si menue, si absurde, que le simple fait qu'il se tienne là, devant la porte d'entrée close, a un quelque chose d'onirique, de faux. Le nez glissé entre les rideaux du living, Poppy est certaine de l'identité de son visiteur matinal, bien que l'image qu'elle en ait ne lui soit révélée qu'à travers la fenêtre et entre les branches nues du rosier à côté de l'entrée. Les lèvres dans sa tasse d'Oolong, elle hésite. Souffle sur le liquide chaud. S'accorde une petite gorgée brûlante. Elle pourrait faire la morte. L'idée est tentante. Après tout, pour ce qu'il en sait, Poppy pourrait très bien être toujours au lit. A vrai dire, à peine réveillée, une longue robe de chambre enfilée au dessus de sa chemise de nuit pour se protéger des redoutables courants d'air de janvier, elle n'est pas tout à fait certaine d'être éveillée. Confronter Barsentti dans cet état tient, à l'évidence, de la très mauvaise idée. N'ayant jamais eu à travailler huit heures par jour, à horaire fixe, à programmer un réveil chaque soir pour le lendemain matin, Poppy a gardé ses habitudes d'étudiante. S'acharnant sur ses recherches jusqu'aux petites heures de la nuit, elle n'aime pas les réveils, passe la matinée à se prélasser dans un état d'oisiveté confortable, devant une tasse de thé et le site du Guardian. Elle devrait le laisser poireauter devant, jusqu'à ce qu'il ne se lasse et fiche le camp. La raison l'exige. Pourtant, ce qui pousse Poppy vers la porte d'entrée, ce n'est pas la raison – c'est la curiosité. Elle ne s'embarrasse pas de la moindre salutation, le laisse déblatérer ses explications tandis qu'elle souffle distraitement sur la surface de son thé. "Fine. You have three minutes. Use them wisely." Elle hoche les épaules, voix paresseuse et sans ressentiment, avant de s'accorder une gorgée de thé, regard fixé sur Adrian au dessus de l'arrête de son mug. Elle sait que la politesse voudrait qu'elle l'invite à l'intérieur, mais ce n'est pas de la mesquinerie qui l'en empêche, encore moins de l'impolitesse. C'est simplement le fait qu'elle ne lui fasse pas confiance. Il pourrait très bien être venu dans le but de continuer sa chasse aux sorcières, d'enfoncer le clou; elle ne le connaît pas suffisamment pour pouvoir éradiquer la possibilité. Dieu sait ce qu'il va lui envoyer au visage et, au moins, sur le seuil, il est facile de se débarrasser de lui : il lui suffit de claquer la porte et retourner dans le salon. Si elle le fait entrer, comme la courtoisie le voudrait, il a les pieds chez elle, et il sera d'autant plus difficile de l'en déloger si la nécessité s'en fait sentir. Tant pis s'il fait froid, si elle doit rentrer les épaules et croiser les bras pour lutter contre les frissons, elle préfère le perron à l'intimité de l'intérieur.
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Adrian Barsentti

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MessageSujet: Re: we've got some explaining to do [w/poppy]   we've got some explaining to do [w/poppy] EmptyMar 31 Jan - 0:05


You have three minutes. Les mots résonnent encore dans ses tympans, il doit se forcer pour ne pas les dire à haute voix. Trois minutes, le temps qui passaient à chaque seconde plus rapidement. Trois minutes. Ce ne serait jamais assez. Pas pour tout ce qu'il devait lui dire. Si en premier lieu Adrian s'en voulait d'avoir été jaloux, il ne laissait personne remettre en question leur amitié, mais plus il y pensait, plus la réalité venait le frapper de plein fouet. Et c'est par pur égocentrisme, que la rage des mots ont fusillés en pleine direction de la brunette. Blessé, la raison possédait peu d'explication valable. Et c'est seulement maintenant, après plusieurs jours - quelques semaines même - que le Barsentti venait à sa porte pour parler, discuter, s'excuser, bien que la douleur à son orgueil soit telle, qu'il prévoit une migraine plus tard. I feel like I should give you my coat. Dit-il, en la voyant en face de lui, visiblement atteinte par le froid plus que lui, dans tous les cas. Adrian, après cinq ans en Californie, ne pensait plus au froid en revenant en Écosse. La surprise fut grande, les souvenirs remontant à la surface; donc aller magasiner pour un manteau beaucoup plus chaud devint la priorité au top de sa liste. Mais maintenant devant une Poppy qui sirotait une boisson bouillante pour se réchauffer, il voulait lui prouver qu'il n'était pas non plus le monstre qu'elle croyait qu'en réalité il est. All my life I had to prove myself. My work, let's just say, men don't use their brains, only their physics matters. And I've tried to fight it, that dumbness. L'explication, peut-être qu'elle s'en contreficherait, mais il se devait de lui faire savoir, non pas par satisfaction personnelle, mais qu'elle le comprenne, tente. Poppy est intelligente, elle avait de la réparti, savait où elle mettait les pieds, ce qu'elle désirait dans la vie. Et Adrian, il n'en était pas encore là. La seule chose qui prenait tout son sens, c'est Reese. La seule raison qui le poussait à cogner sur la porte de la personne qui le déteste le plus dans tout Fortingall par un matin très frisquet. Nothing makes sense, I don't know where I'm going, or what I'm doing, to be fairly honest. And I do feel insecure. Get defensive at times. Il regrette sa façon d'agir avec cette inconnu, lui qui pourtant se voulait généreux, calme, patient, et ouvert, lui avait fermé la porte au nez. Elle qui présentement endurait le froid de l'extérieur pour lui. Adrian dans un geste qu'il ne comprendrait jamais, retire son foulard qu'il pose autour du cou de la Bloom, pour la réchauffer un peu. It's not true about Basil. I did say it to hurt you, because the thought of him not talking about our friendship - which means the world to me - is unbearable. But he's not who I thought he was. S'il n'aurait pas peur de perdre ses parties intimes, il se rapprocherait pour la réchauffer encore plus. L'italien percevait sa méfiance, la ressentait. Il ferait sans doute pareil si les situations s'inversaient. Un léger sourire qu'il ne force pas, apparaît sur son visage. But I didn't knock on your door just for this. I need your help. Parce qu'Adrian ne savait plus sur quel pied danser, et s'il avait poussé d'une main les pensés grimpantes, il sentait son insécurité augmenter avec les jours. Reese l'avait trompé, et la peur que le tout se reproduise le mettait mal à l'aise, contribuait à cette rage envers son meilleur ami, mais une nouvelle se propageait aussi dans ses veines. Son imagination ne s'était - heureusement - rendu jusqu'à imaginé les deux au lit ensemble, à quel point ils consommait au moment de l'acte, ou avant. Peu importe. Pour continuer à ne rien laisser paraître, il devait demander conseil. Mais les deux partis concernés, ceux vers qui il se tournerait normalement, étant le sujet de ses doutes, se voyait retirer de la liste des confidents possible. Reese told me she and Basil fucked when I was still with her. L'italien laisse la phrase, la donne à Poppy, lui tend le plateau, le fardeau peu importe. Il ne peut le tenir plus longtemps, lourd sur ses épaules, sur ses pensés, ses rêves, sa vie. Qu'elle ne le croit pas, qu'elle lui ferme la porte au nez, tient. Ça ne ferait qu'augmenter son niveau d'anxiété, et elle aurait une fois de plus gagné.
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MessageSujet: Re: we've got some explaining to do [w/poppy]   we've got some explaining to do [w/poppy] EmptyMer 1 Fév - 13:17

Elle a envie d'y croire, Poppy. A cette version de lui, prévenante et sans artifices, sur son paillasson un beau matin froid. Fortingall n'est pas bien grande, et ils partagent la ville qu'ils le veuillent ou non. Ce serait tellement confortable de recommencer à zéro, sur de meilleures bases, en oubliant les égratignures infligées par le passé. Elle a envie d'y croire, mais chat échaudé craint l'eau froide, et toutes les excuses qu'Adrian est capable de conjurer, aussi authentiques semblent-elles, rencontrent une part de méfiance. Elle scrute les traits de son interlocuteur avec minutie et n'y rencontre qu'honnêteté. Malheureusement, pour tout ce qu'elle en sait, il pourrait être un excellent comédien. Elle garde les lèvres scellées, ne dit pas un mot. Espère voir briller sous la surface de ses iris un indice lui confirmant qu'il est en train de mentir, de se jouer d'elle, seule approximation d'une certitude possible puisque la sincérité paraît impossible à prouver. C'est tentant, pourtant, de se laisser aller à un peu de confiance. And I do feel insecure. Get defensive at times. Les mots ont un goût de réel, de vulnérable, et si elle reste paralysée, visage neutre, la circonspection de Poppy oscille, chancelle un instant. Il lui donne du vrai, des confessions hésitantes, dont elle pourrait aisément se moquer si elle le souhaitait. Adrian ne fait pas de réplique cinglante sur le fait qu'elle ne l'invite pas à entrer, qu'elle préfère se laisser avoir froid sur le paillasson que faire entrer le loup dans sa tanière – à la place, il lui dépose son écharpe autour de la nuque comme si c'était la chose la plus naturelle au monde. Bien malgré elle, à chaque mot qu'il prononce, elle sent sa suspicion s'éroder, perdre de son tranchant. He's not who I thought he was. Poppy plisse les lèvres, seule indication qu'il n'a pas affaire à une statue d'elle, qu'elle est capable de mouvement. There it is, pense-t-elle. Les stratégies, les mauvais coups. Elle érige à nouveau ses barrières, avec toutefois moins de conviction, lorsqu'il lui dit avoir besoin de son aide. La seule réponse qu'elle lui offre est un froncement de sourcils sceptique. Plutôt qu'émettre d'inutiles hypothèses sur la nature de sa requête, elle garde les bras croisés, les traits figés, jusqu'à ce qu'il finisse par tousser la raison de sa présence ici. Lorsque la réponse vient, elle met du temps à trouver écho chez Poppy. Reese and Basil fucked. Il ne s'embarrasse pas d'euphémismes. Première chose qu'elle apprécie chez Barsentti. Elle voudrait être certaine qu'il ment, avoir la liberté de lui rire au nez avant de fermer la porte, mais il y a ce truc qui l'en empêche, brillant dans les yeux d'Adrian. La vérité. Elle sait qu'il dit vrai, et elle ignore si la brûlure dans sa poitrine est jalousie ou déception, si elle rejette l'idée d'imaginer Basil et Reese ensemble, ou celle que sa meilleure amie ait gardé un secret pendant si longtemps. "And what kind of help is it that you're expecting from me, exactly?" Les mots sont prononcés avec un détachement moyennement convaincant, avant qu'elle ne puisse laisser ses pensées se jeter sur les implications de la bombe qu'Adrian vient de jeter. Avant qu'elle ne puisse se décider pour une réponse moins civile, aussi. Une partie d'elle veut lui reprocher d'avoir osé venir se présenter à sa porte pour lui dire ça. Veut lui demander de quel droit il ôte à Reese la chance de confesser elle-même à Poppy cette aventure, de quel droit il répand un secret qui n'est pas le sien. Une partie d'elle veut reprocher à Adrian cette dépression dans sa poitrine à elle, car ce serait plus simple que de s'avouer à elle-même qu'elle a beau proclamer être passée à autre chose, avoir oublié Basil, putain, ça fait mal. Mais la vraie Poppy, celle qui soigne, qui plante, qui guérit, qui cultive, celle à qui Barsentti n'a jamais été confronté, elle comprend. Comprend que, de tous les endroits possibles, ce soit devant chez elle qu'il se tienne. Alors elle recule d'un pas. S'efface contre le mur, et lui fait signe d'entrer.
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